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Mardi 17 Septembre

La DGT présente les actus en France, et l’état d’avancement des travaux européens.

Intervenant : Thomas COLIN (DGT)

Utilisé depuis l’Antiquité pour la construction des bâtiments mais aussi pour la cosmétique, les monnaies et le vernissage des poteries, le plomb est un métal toxique aussi bien pour l’homme que pour l’environnement.
Malgré l’interdiction des peintures au plomb, aujourd’hui le plomb est encore utilisé notamment dans les monuments historiques pour les couvertures, les étanchéités mais aussi pour les rejointoiements des maçonneries et le sertissage des vitraux. Les anciennes peintures sur les éléments de ferronneries et de menuiseries mais aussi de décoration murale peuvent être à l’origine d’une contamination des sites par les poussières de plomb.
Quel est l’approche correcte pour la gestion d’un chantier de restauration d’un monument historique où le plomb est patrimonial, n’est pas un polluant à retirer mais un élément à conserver et restaurer ?
Le risque plomb est revenue sur le devant de la scène avec l’incendie de Notre Dame de Paris. Aujourd’hui, comment concevoir un chantier de restauration MH en prenant en compte le risque plomb ?
L’experte présentera son retour d’expérience et échangera avec les organismes de contrôle et de prévention sur comment gérer un chantier MH en présence de plomb
 

Intervenants : Maria-Rosa PIRA (Antea Group), Jérôme DELCOURT (Cramif), Vincent OUDARD (Cramif)

« On parle d’un coté de “rénovation énergétiques d’ampleur”, de massification … et d’intervention de tiers de confiance (MAR), de chef de projets en rénovation énergétiques, d’auditeurs énergétique, de professionnels RGE.
Comment s’y retrouver dans cet écosystème qui semble complexe et qui pour autant n’a jamais été autant en ordre de marche. En effet cette trajectoire ne doit servir qu’un seul objectif : conduire en quantité des rénovations énergétiques de qualité avec un objectif de performance défini et inscrit dans la loi.
Comment concilier ce vaste travail avec les polluants qui sont susceptibles d’interférer avec un chantier ? Ou encore comment identifier et contacter ces intervenants « qualifiés » : MAR, RGE, CERTIFIES, QUALIFIES…
La monté en compétence des acteurs ou trouver les personnes compétentes pour faire face à ce marché en plein essor est actuellement la préoccupation de toute une filière. L’objectif de cette conférence est de décrypter et comprendre l’organisation de cette montée en puissance qui s’organise par le témoignage de certains de ces acteurs moteurs. »
 

Intervenants : Arnaud WAGEMANS (ANAH), Philippe TROYAUX (ID School), Sarah MAGNOU (CFA BTP 87), Damien VAN DER EECKEN (ADX Groupe), Simon PENA VEGA COHEN (Saint-Gobain)

Claire BARRAU, chef de projet métier DEMAT@MIANTE à la DGT, dressera un premier bilan de l’outil Démat@miante et présentera ses dernières évolutions et celles projetées. Cette présentation sera également l’occasion pour la DGT de recueillir, lors d’un échange avec les participants, des réactions sur le fonctionnement et l’ergonomie de la plateforme, voire des attentes sur d’éventuelles nouvelles fonctionnalités.

Intervenante : Claire BARRAU (DGT)

Jamel Berhil (laboratoire CEAPIC) et Anis Megdiche (laboratoire ITGA), représentants l’AFEL, présenteront les évolutions réglementaires européennes en matière de prévention amiante et partageront leurs retours d’expérience suite à leur présence à Asbestonomy. Ils partageront une synthèse des discussions du groupe de travail des laboratoires internationaux et mettront en avant les opportunités de marché pour la filière.

Intervenants : Jamel BERHIL (CEAPIC), Anis MEGDICHE (ITGA)

Mercredi 18 Septembre

« Partie 1 : La fusion des audits, les acteurs en place et le marché : si le DPE et l’Audit énergétique ont des dispositifs tracés et consolidés, qu’en est-il de ce marché ?
Après un bref bilan de situation de ces deux missions et des acteurs en place, il est maintenant le moment d’avoir un regard prospectif à court et moyen terme. Les prochaines échéances qui déclenchent l’obligation de réaliser un audit énergétique sont proches. Après cette fusion des audits les sollicitations qui l’exigent sont multiples et le spectre de bâtiment concerné est étendu. Les professionnels seront-il assez nombreux et auront-il le temps de se former et se qualifier pour la réalisation de ces missions ?
Partie 2 : Qui va réellement y aller et qu’en est-il du levier des aides ?
L’audit énergétique devient la pierre angulaire pour l’orchestration des rénovations énergétiques des maisons individuelles et des rénovations d’ampleur. Ne correspondrait-il pas au démarrage d’une massification des rénovations énergétiques ? Quel est le réel marché lié aux aides ? Qui va réellement y aller ? »
 

Intervenants : Olivier HEAULME (Diagamter), Ruben DUFEAL (DHUP), Adrien GARD (DHUP), Gaëlle COLIN (DHUP), Etienne TERNISIEN (UP N PRO)

Emballage ergonomique des déchets sur chantier. 
 
Avec : Cécile COLIRE (SYRTA), Jean-François ANTOINE (IUT NANCY-BRABOIS) 

Espace MOA

Mardi 17 Septembre

Quand on parle de travaux de rénovation dans un bâtiment ancien, on ne peut occulter l’éventualité de travaux de désamiantage qui représente une contrainte budgétaire et organisationnelle supplémentaire. Pierre PONTIER (2P Consultant) présentera un cas concret d’une réhabilitation énergétique d’une résidence de plus de 280 logements en milieu occupé avec présence de matériaux amiantés. Il dévoilera sa stratégie en tant qu’AMO Amiante pour réaliser les travaux en minimisant l’impact de l’amiante et ne pas passer par la case désamiantage.

Intervenants : Pierre PONTIER (2P Consultant), Mélanie LORIDAN (SECOIAM)

Obligatoire depuis le 1er janvier 2024, Le DPE collectif est un outil essentiel pour évaluer et améliorer la performance énergétique des bâtiments collectifs, tout en contribuant à la préservation de l’environnement et à la réduction des coûts pour les copropriétaires. Véritable outil d’aide à la décision pour les syndics, il permet de planifier les travaux de rénovation (avec les impacts financiers) et de s’assurer du bon niveau d’implication des copropriétaires. Les Maîtres d’Ouvrage sont lancés depuis plusieurs années dans des projets de rénovation de leur parc immobilier et l’évaluation de leur besoin passe par un Diagnostic de Performance Energétique de qualité. Un acteur majeur du diagnostic immobilier rappellera les enjeux du DPE collectif et partagera son expérience d’un projet de rénovation énergétique réussi grâce au DPE collectif.

Intervenant : Olivier Héaulme (Aléa Contrôles / Diagamter)

Mercredi 18 Septembre

Les Maîtres d’Ouvrage sont lancés dans la rénovation de leur parc immobilier avec la multitude d’obligations réglementaires et administratives. Cette massification s’accompagne de tâches chronophages qui éloignent les Maîtres d’Ouvrage de leur métier de gestionnaire de biens immobiliers. De plus, la multiplication des évolutions règlementaires ajoutent une pression supplémentaire et mobilise du temps pour chercher l’information afin d’être en conformité. Les multiples évolutions du DPE ont créées une inertie dans la prise de décision de certains projets. Découvrez les outils qui vont permettre aux MOA de sécuriser leurs obligations règlementaires et leur faire gagner du temps dans la gestion documentaire.

Intervenants : Gilles LE POULARD (SOGELINK), Antoine RADI (BatINBOX)

Construire ou rénover de manière plus vertueuse et réduire son empreinte carbone sont des objectifs qui ont pris tout leurs sens depuis quelques années. Entre rarification de la matière première, inflations et règlementations, les Maîtres d’Ouvrage se tournent vers des solutions de réemploi, de recyclage et de revalorisation des matériaux. Pour autant, certaines questions restent en suspens. Est-ce que le diagnostic PEMD est suffisant pour élaborer une stratégie d’économie circulaire, la filière est-elle organisée pour répondre aux besoins des MOA ?

Intervenant : Sylvain GONCALVES (Groupe Remove), Maxime DEMIAUDE (Groupe Remove)